24.11.06

Discours du bourgmestre, Bernard Clerfayt

SCHAERBEEK
Conseil communal
Séance du 22 novembre 2006


Intervention du bourgmestre Bernard Clerfayt
en hommage aux conseillers communaux et aux échevins non réélus et à Francis DURIAU, bourgmestre, à l’occasion de leur accession au titre d’échevins et de bourgmestre honoraires de Schaerbeek.




Mesdames et Messieurs,

Nous allons ce soir rendre hommage à celles et ceux qui nous quittent après avoir rempli pendant de nombreuses années leur devoir d’élu, de conseiller communal, de mandataire public dans des intercommunales ou des associations para-communales, d’échevins ou de bourgmestre. Toutes ces fonctions sont essentielles à l’exercice de la démocratie. Car ce n’est pas une sinécure de remplir un mandat public aujourd’hui et les hommes et les femmes politiques font l’objet de nombreuses critiques ou préjugés. Et si les préjugés ont la vie dure, ils sont avant tout injustes. En effet les personnes qui choisissent de faire le saut en politique ne sont pas, sauf exception, des bandits, des voleurs, des corrompus, des hypocrites, toutes ces qualités dont les affuble l'opinion publique, alimentée en cela par les médias et les malhonnêtes qui sévissent sur la scène politique.
D'abord, il semble bien que l'être humain tire autant de plaisir à détester qu'à aimer. Et les politiciens sont des gens qu'on aime détester et à propos desquels notre jugement ne s'embarrasse d'aucune nuance. L'opinion publique est également réticente à respecter ceux et celles à qui elle confère l'exercice de l'autorité, comme si elle se refusait à ce transfert de responsabilité. Or la plupart des gens fuient ce genre de responsabilité. On se retrouve donc dans une situation de porte-à-faux au désavantage systématique de la personne qui choisit la politique.

Dans ce contexte, il n'en faut pas plus pour que s'excitent les démagogues en tout genre, dont certains, plus scribouilleurs que d'autres, ont barbouillé de «pourri» et de «vendu» les affiches électorales. Ces petits gestes de délinquance font sourire beaucoup d'électeurs, eux-mêmes confortés dans leurs perceptions préjugées. Ce genre d'enfantillage est cependant moins innocent qu'on pourrait le croire.

Parce qu'enfin, qui souhaite le boycottage du processus de représentation, un des fondements de l'exercice démocratique? Qui peut se réjouir que les plus doués, les plus altruistes, les plus convaincus du bien-fondé des changements sociaux restent à l'écart de l'engagement politique à titre de candidats potentiels? Qui peut désirer que le bien commun devienne incarné par des arrivistes, des têtes brûlées, des irresponsables ou des lunatiques? Qui peut vouloir confier nos institutions à des gens qui les utiliseront à leurs propres fins et à leur propre profit? L’actualité nous en présente de tristes exemples ces derniers temps !

La très grande majorité des gens qui optent pour la politique sont animés par un idéal – et j’en connais beaucoup dans cette assemblée, qui sont animés par un idéal - possèdent des convictions, croient au bien-être collectif et ne se couronnent pas du titre de roi. La perfection n'est pas de ce monde, on en convient, mais à force de tirer sur les politiciens, on finira par vider les futurs parlements et les conseils communaux des gens de qualité. D'autant plus que l'époque est bien peu favorable à l'altruisme, au dévouement et à l'évaluation personnelle. Plus personne ne veut être jugé de nos jours, ni les étudiants, ni les profs, ni les parents, ni les syndiqués, ni les cadres. Les politiciens – les femmes et les hommes politiques - sont en première ligne du jugement populaire et leur sort peut en être jeté à chaque scrutin. N'est-ce pas déjà une qualité de se soumettre à pareil processus?

Dans la société individualiste, l'engagement personnel envers la communauté ne va pas de soi, et ceux qui tentent l'aventure suscitent en général des commentaires aigres-doux alimentés par des arrière-pensées. On se méfie de la pureté de leurs intentions, on remet en question leur compétence professionnelle dans le métier qu'ils ont quitté pour la politique et, surtout, on persiste à croire que la plupart d'entre eux sont attirés par l'appât du gain et la gloire. Or la conviction demeure un élément fondamental du choix d'une carrière politique.

Je veux donc vous rendre hommage aujourd’hui, au nom de la population de Schaerbeek, pour cet altruisme, cet engagement dont vous avez tous fait preuve dans l’exercice de votre mandat. Chacun ici a des convictions et se dépense pour elles. Nous ne partageons pas tous les mêmes convictions et c’est l’objet du débat démocratique de les confronter, de les associer ou de les départager. Mais tous ont donné de leur temps pour mettre leur conviction en pratique et faire vivre la démocratie.

Pour cela, et pour bien d’autre choses encore, à tous MERCI.


Commençons par les conseillers qui nous quittent.

Je commencerai par ceux qui nous ont rejoint récemment : Suleyman OZDEMIR et Berthe DULTES ont été invités à prêter serment le 21 décembre 2005. Il y a donc à peine un an qu’ils siègent avec nous. Mais dans le cas de Betsy, ce n’était qu’un retour car elle a déjà siégé dans ce Conseil entre 1991 et 1994 et au Conseil de l’aide sociale de 1995 à 2000. Elle est un peu la « mamy » de cette assemblée et on lui doit quelques interventions toujours marquées du bon sens. Suleyman a été moins disert, mais il n’a sans doute pas encore pris la pleine mesure de son mandat. On regrettera de n’avoir pas eu l’occasion de mieux le découvrir.

Max HABERMAN et Abdellah M’RABET nous ont rejoint le 27 avril 2005. Dans le cas de Max, c’était également un retour, puisqu’il avait déjà exercé cette fonction dans le passé. Max HABERMAN, c’est d’abord un sourire et une gentillesse, doublé d’un fine compétence juridique et d’un sens inné de la négociation. Il est dommage de perdre de telles qualités. Abdellah M’RABET est un homme de conviction, de droiture, de vérité, … brute parfois. Car il ne souffre aucun faux-semblant, aucune hypocrisie. On se souviendra de ses interventions tranchées, notamment sur la fête du Sacrifice. Et on se souviendra autant de celles qu’il développées que de celles qu’il n’a pas eu l’occasion de faire.

Dirk ADAMS et Geneviève MEUNIER ont prêté serment le 22 septembre 2004. Dans le cas de Geneviève, c’est également un retour puisque’elle a exercé le mandat de conseillère communale entre 1994 et 1999. Ses interventions fouillées dans le domaine de la mobilité, de l’environnement nous ont démontré qu’elle n’est pas femme à se laisser faire, qu’elle maîtrise toujours parfaitement ses dossiers et qu’elle les défend avec conviction.

Dirk ADAMS lijkt altijd zeer kalm. Maar hij richtte zijn interventies op participatie, bescherming van het leefmilieu maar ook van de gehandicapten. Voor al Uw inzet, ook veel bedankt.

Je vous demande de les applaudir bien chaleureusement.

J’en viens aux conseillers qui furent installés au début de cette législature, soit le 8 janvier 2001 : Saïd BENALLEL, Anne MONSEU, France BLANMAILLAND, Martine MASSART, Marie-Anne KLEYKENS, Patrick HEUNINCK et Jean-Pierre VANTIGHEM.
Anne MONSEU s’est illustrée par de nombreuses interventions sur le redressement des finances communales, la fiscalité (en insistant sur sa modération), sur la qualité et le professionnalisme des agents de l’administration et sur la politique sociale et du logement. Elle nous a représenté dans plusieurs intercommunales. Depuis le 18 juin dernier, elle siège comme conseillère, au sein de l’Assemblée des Français de l’étranger. Nous lui souhaitons beaucoup de succès dans ses nouvelles fonctions.

France BLANMAILLAND est une vraie militante, depuis toujours, du droit des citoyens à un service public de qualité, à une gestion rigoureuses des droits de chaque être humain. Elle toujours placé sa compétence et son énergie à défendre les plus pauvres ou ceux dont les droits sont les moins garantis. Ele l’a prouvé dans ses nombreuses interventions, politiques ou juridiques, corrigeant l’imprécision d’un règlement ou d’une délibération. Elle également exercé avec compétence et sérieux son mandat de conseiller de police, tant on sait que les matières de police l’ont toujours intéressées. Merci de cette rigueur et de sourire.

Martine MASSART a mis ses qualités professionnelles de commerçante et ses qualités de cœur de militante de la cause du tiers-monde au service de conseil. Ses interventions sont toujours marquées de la nécessité d’être efficace, concret, pratique, de faire avancer les choses et de respecter le bon sens. Elle s’est orientée vers les questions liées à la qualité de l’enseignement et de l’accueil des enfants, dans les crèches ou dans les écoles mais aussi de l’animation commerçante et du développement économique et de l’emploi. Merci Martine.

Marie-Anne KLEYKENS est elle aussi une vraie militante, engagée, volontaire, qui ne mâche jamais ses mots pour dire ce qu’elle pense et ce qu’elle croit juste. Intéressée à toutes les politiques de solidarité urbaine (rénovations, jeunesse, intégration), elle nous a habitués à des prises de parole engagée et écoutée dans ce conseil. En tant que chef de groupe socialiste, elle a porté le message de sa formation politique. Nous la regretterons, mais pas longtemps peut-être, si le sort devait l’amener à nous rejoindre d’ici peu.

Saïd BENALLEL est l’un des benjamins de cette assemblée, un jeune de Schaerbeek, fin connaisseur de la vie des quartiers, comme on dit, mais ses interventions étaient toutes empreintes de cette sagesse qui reconnaît le respect à chacun et l‘exige pour les autres comme pour lui-même . Il nous a représenté très efficacement auprès de l’intercommunale du gaz et de l’hôpital. Je ne doute pas qu’il conservera une part de son énergie pour d’autres combats schaerbeekois à côté des joies de la famille.

Patrick HEUNINCK is bij ons raar geweest. Men heeft zijn kwaliteiten kunnen apprecieren maar ik weet dat hij …
J’en viens enfin à Yvan FRABONI, installé la 4 janvier 1995. Il peut paraître modeste à ceux qui ne le connaissent pas, tant ses interventions, en séance plénière étaient rares. Mais, comme médecin de quartier, comme citoyen de Schaerbeek, comme président des Amis de l’Athénée Fernand Blum, il est de ceux qui sentaient le mieux l’opinion et les soucis de la population et il savait les répercuter avec sagesse et efficacité.

Jean-Pierre Van TIGHEM a toujours été honnête, précis, travailleur et efficace. Interessé par la politique sociale et la défense de l'action du CPAS (un souvenir de ses anciennes fonctions), il s'est également investi dans la communication. Vice-Président de l'asbl Schaerbeek-Info, il a mis ses compétences de communicateur au service de l'information des citoyens sur la vie de la commune et la gestion communale. Si ce journal est aujourd'hui l'instrument reconnu qu'il est, c'est certainement à sa compétence et à son travail que nous le devons.

A tous ces conseillers, qui nous quittent, mais qui nous reviendront peut-être, je formule les remerciements de la population et de vos collègues. Et je vous demande de les applaudir.

(Discussion et vote sur l’octroi du titre d’échevins honoraires à Cl. Paulet, J. Nimal, Ch. Germain, E. De Jaegher)


Vous venez de décider d’octroyer le titre d’échevin honoraire à quatre anciens échevins, qui quittent également le conseil communal. C’est pour eux, qui comptent près de vingt-cinq ou trente ans de présence au conseil communal, une page importante de leur vie qui se tourne. Ils ne sont plus échevins depuis une législature déjà, mais ils sont resté des mandataires communaux convaincus et décidés. Jacques NIMAL, Christian GERMAIN et Edward DE JAEGHER ont prêté serments, comme conseillers communaux, en date du 10 janvier 1977. Claude PAULET a, lui, été installé comme conseiller communal, le 8 janvier 1971.

Edward DE JAEGHER a été élu échevin le 30 juin 1989, fonction qu’il a exercée jusqu’au 7 janvier 2001. Issu d’un famille ancrée à Schaerbeek depuis des décennies, son père tenait une pharmacie, il s’est toujours montré constructif, fin juriste et attaché à la bonne entente entre tous les Schaerbeekois de deux communautés linguistiques. En tant qu’échevin des Affaires flamandes et des affaires juridiques, il a notamment développé la bibliothèque flamande et soutenu et lancé une grande exposition des artistes schaerbeekois, qui se tenait annuellement au centre culturel flamand De Kriekelaer.

Jacques NIMAL est également issu d’une famille dont le nom reste attaché à la commune. Son père avait déjà exercé la fonction d’échevin pendant plusieurs législatures et son fils entrera au conseil communal dans une dizaine de jours. Brillant juriste, il était toujours de bon conseil, tant pour les autres membres du Collège que pour la population car il animait une permanance juridique dans son cabinet. Echevin de Finances dans une période difficile, il a tenu la barre avec fermeté . (adage : « Faites-moi de bonnes politiques, je vous ferai de bonnes finances ») Il a été le précurseur de réformes diverses, comme la suppression de la Société Coopérative, qui vient seulement d’être réalisée. Mais surtout, il a réservé une partie des recettes des ventes des actions DEXIA afin de créer un fonds de pension pour garantir les pensions des fonctionnaires communaux et anticiper les lourdes charges des pensions pour le budget communal. La meilleure santé financière actuelle de la commune lui est donc également redevable. Il toujours été apprécié pour son extrême politesse avec ses fonctionnaires et sa gentillesses avec ses collègues.


Christain GERMAIN est devenu échevin en janvier 1989, fonction qu’il exerça jusqu’en janvier 2001. Echevin des Sports, il a soutenu de nombreux clubs, de jeunes et de moins jeunes. Et il s’est battu pour maintenir à flot, c’est l’occasion de le dire, le bain communal, le Neptunium, alors que les moyens manquaient pour entamer sa rénovation. Il s’est battu pour entamer la première rénovation, incomplète, du bâtiment et tenter, par sa rénovation, de le rendre plus attractif. Comme échevin des Seniors, il s’est toujours montré soucieux de maintenir une qualité de vie et des activités récréatives et festives pour nos aînés.

Claude PAULET a été élu échevin le 10 janvier 1977 et l’est resté jusqu’au 7 janvier 2001.
D’abord échevin des Classes moyennes, i a crée le Syndicat d’initiative de Schaerbeek et est à l’origine de nombreuses animations dans les quartiers commerçants : marchés de Noël, illuminations de fin d’année (comme à la place Meiser, que nous souhaitons réinstaller), brocantes de la caserne Dailly, jumelage avec le Quebec en 1976, avec Vicovu de Sus , un village Roumain sisnistré en 1990, avec une ville chinoise que l’on a un peu oubliée.
Il est également très attaché au folklore : créateur de l’Ordre de la griotte, aujourd’hui malheureusement disparu et du Musée de la Bière, qui fonctionne encore. Mais cette passion pour l’histoire de Schaerbeek ne fait pas oublier ses racines wallonnes (liègeoises) et il est toujours resté attaché àç l’indéfectible solidarité entre Bruxelles et la Wallonie, notamment dans l’exercice de son mandat d’admnistrateur-gérant au sein de la Compagnie Bruxelloise des Eaux, le fleuron de nos intercommunales. Echevin des Travaux et de la Propreté publique, il a su, diriger ce service d’une poigne de fer et même si nous avons connu à cette période quelques différends, je lui sais gré d’avoir toujours été d’une très grande efficacité dans le service aux habitants. Ne disait-on pas : « Un mot, un geste, Paulet fait le reste ».

Enfin, il me faut aussi rendre hommage à Xavier WINKEL, qui fut membre de ce conseil communal du 4 janvier 1983 jusqu’au 4 janvier 1989. Réelu en 1994, il prête serment en cette qualité le 4 janvier 1995 et est élu échevin, fonction qu’il a exercé jusqu’au 7 janvier 2001 ; Depuis lors il siège à nouveau au sein de conseil. D’abord jeune élu Ecolo au moment en opposition à une majorité nolsiste au sommet de sa gloire, il eut du mérite à faire vivre le combat qui est le sien. Mais à nouveau, entre 1995 et 2001, seul échevin écologiste dans une large majorité, il eut à ,porter seul les espoirs et les projets de sa formation. Son bilan n’est pas maigre : Lancement de la découverte des Artistes, des Musiciens, du Livre. Conception du premier centre culturel de Schaerbeek, à la rue de Locht, première Fête de la Musique, ouverture de la bibliothèque Thomas Owen, Rénovation des stades Chazal, Terdelt et lancement des études de rénovation du neptunium et de construction du nouveau centre sportif au Lambermont.


Hommage à Francis DURIAU


Francis DURIAU a prêté serment pour la première fois en qualité de conseiller communal le 10 janvier 1977. Il a exercé successivement les mandats d’échevin du 10 janvier 1977 au 3 janvier 1983, de Président du CPAS du 1er avril 1983 au 14 avril 1992 et de bourgmestre du 15 avril 1992 au 24 janvier 2001.
Il s’est d’abord illustré dans les compétences sociales qui accompagnent sa formation de médecin. Echevin des crèches et des Affaires sociales, il a su développer ces services essentiels à la population que sont l’accueil de la petite enfance, les consultations pour nourrissons mais aussi les services de repas à domicile et d’aide aux familles. Président du CPAS dans une période très difficile, il eut la tâche difficile et ingrate de maintenir en service cette institution que la situation désastreuse des finances communales ne permettait d’aider suffisamment. Il eut également à redresser la gestion de l’hôpital public dans une période où partout en Belgique le secteur hospitalier connaissait des déficits records. Et à négocier avec les médecins d’abord, avec les ministères ensuite et avec la tutelle enfin afin d’empêcher la faillite de notre hôpital public, le seul dans cette portion de la Région bruxelloise. Cela n’a pas été sans coût, mais nous restons attachés aujourd’hui à la permanence et à l’amélioration de ce service essentiel à la population.
Accédant au maïorat en 1993, dans des conditions politiques difficiles, il eut l’intelligence de recentrer l’action du Collège, d’encourager les signes de renouveau et d’entrouvrir la porte du changement. Rappelez-vous de la première initiative de rénovation de notre patrimoine scolaire : l’école 3 de la rue Rogier. Rappelez-vous les premières initiatives en matière de politique de prévention, l’engagement des premiers éducateurs de rue. Enfin Francis DURIAU a été le protecteur des Arts, dans le sens noble du terme en promouvant de nombreuses expositions artistiques. Attaché à sa commune, il a fondé l’asbl Scarenbeka chargée de revaloriser notre histoire locale et la grandeur du passé de notre commune. Il a également géré, pendant de nombreuses années, le Foyer schaerbeekois, dont il a redressé la situation financière etentamé les premeiers programmes de rénovations d'envergure. Enfin il a su gérer une large majorité de renouveau entre 1994 et 2000, qui associait et c’était une première à Schaerbeek, la Liste du Bourgmestre, le FDF, Ecolo, le PS et le PSC. Schaerbeek a connu dans ces périodes sa « normalisation » politique, c’est-a-dire, le retour à une vie politique normale et prometteuse. Elle a trouvé dans ce smoments les racines de son renouveau. Pour tout cela, Francis, sois-en remercié.



Buste de Duriau.


Un mot sur l’artiste.


Marianne Vereeken.